Ruth*

Caput 3: 10

et ille benedicta inquit es Domino filia et priorem misericordiam posteriore superasti quia non es secuta iuvenes pauperes sive divites
(* Traductions européennes)

Bible Française

10 Booz lui déclara : « Que le Seigneur te bénisse, ma fille ! Cette preuve de fidélité que tu viens de montrer est encore plus grande que la précédente. En effet, tu n'es pas allée après les jeunes gens, riches ou pauvres.

Parole de Vie

10 Booz répond : « Que le SEIGNEUR te bénisse ! Tu n'as pas cherché l'amour des jeunes gens, riches ou pauvres. Ce que tu viens de faire prouve ta fidélité à la famille de ta belle-mère. Tu as agi encore mieux qu'avant.

Louis Segond (Nouvelle)

10 Il s'exclama : Sois bénie du S EIGNEUR , ma fille ! Cette dernière marque de fidélité vaut mieux encore que la première, car tu n'as pas couru après les jeunes gens, pauvres ou riches.

Français Courant

10 Booz lui déclara : « Que le Seigneur te bénisse, Ruth ! Tu viens de donner à la famille de ta belle-mère une preuve de fidélité encore plus grande que précédemment. En effet, tu n'as pas recherché l'amour des jeunes gens, riches ou pauvres.

Colombe

10 Il dit : Sois bénie de l'Éternel, ma fille ! Cette dernière marque de loyauté vaut mieux encore que la première, car tu n'as pas recherché des jeunes gens, pauvres ou riches.

TOB

10 Alors il dit : « Bénie sois-tu du S EIGNEUR , ma fille. Tu as montré ta fidélité de façon encore plus heureuse cette fois-ci que la première, en ne courant pas après les garçons, pauvres ou riches.

Segond (Originale)

10 Et il dit: Sois bénie de l'Éternel, ma fille! Ce dernier trait témoigne encore plus en ta faveur que le premier, car tu n'as pas recherché des jeunes gens, pauvres ou riches.

King James

10 And he said, Blessed be thou of the LORD, my daughter: for thou hast shewed more kindness in the latter end than at the beginning, inasmuch as thou followedst not young men, whether poor or rich.

Reina Valera

10 Y él dijo: Bendita seas tú de Jehová, hija mía; que has hecho mejor tu postrera gracia que la primera, no yendo tras los mancebos, sean pobres ó ricos.