Tobias*

Caput 3: 17

numquam cum ludentibus miscui me neque cum his qui in levitate ambulant participem me praebui
(* Traductions européennes)

Bible Française

17 l'ange Raphaël fut envoyé pour les guérir tous les deux, en faisant disparaître les taches blanches des yeux de Tobit, pour qu'il voie la lumière de Dieu, et en délivrant Sara, fille de Ragouël, de l'affreux démon Asmodée, pour la donner comme femme à Tobias, fils de Tobit. En effet, c'est à Tobias que revenait le droit de l'épouser avant tout autre prétendant. Au moment même où Tobit rentra de la cour dans sa maison, Sara descendit de la chambre située en haut de la maison de son père.

Parole de Vie

17 Raphaël est envoyé pour les guérir tous les deux. Il doit enlever les taches blanches des yeux de Tobit pour qu'il voie de nouveau la lumière de Dieu. Il doit aussi délivrer Sara, la fille de Ragouël, de l'esprit mauvais, Asmodée, et la donner pour femme à Tobias, fils de Tobit. En effet, c'est Tobias qui doit se marier avec elle, selon la loi, avant tous les autres qui veulent la prendre pour femme. À ce moment-là, Tobit, qui était dans la cour, rentre dans sa maison, et Sara descend de la chambre située en haut de la maison de son père.

Français Courant

17 l'ange Raphaël fut envoyé pour les guérir tous les deux. Il devait faire disparaître les taches blanches des yeux de Tobit pour qu'il revoie la lumière de Dieu. Il devait aussi délivrer Sara, fille de Ragouël, de l'affreux démon Asmodée et la donner comme femme à Tobie, fils de Tobit. En effet, c'est à Tobie que revenait le droit de l'épouser avant tout autre prétendant. Au moment même où Tobit rentra de la cour dans sa maison, Sara descendit de la chambre située en haut de la maison de son père.

TOB

17 et Raphaël fut envoyé pour les guérir tous deux : Tobit, en faisant partir les leucomes de ses yeux, afin qu’il voie de ses yeux la lumière de Dieu ; Sara, la fille de Ragouël, en la donnant pour femme à Tobias, le fils de Tobit, et en expulsant d’elle Asmodée, le démon mauvais – c’est à Tobias, en effet, qu’il revenait de l’obtenir avant tous les autres prétendants.